À voix nues
À voix nues
Les textes de Florian Rodari ont été écrits après l’audition des chants aré aré que les femmes des Îles Salomon chantent à deux voix pour bercer leurs enfants ou pleurer leurs morts.
Claude Garache les accompagne de trois eaux-fortes et d’un bois gravé.
« Leurs voix ne s’élèvent pas contre le silence, elles en prolongent la substance nocturne et lente. D’autorité elles sont venues occuper cette place que le reste du monde tout autour leur reconnaît en s’apaisant. Tordant la fibre où semble s’être blotti le rêve, elles délient non loin d’elles, entre leurs doigts, la monodique berceuse. »
Un volume de format 21 x 27 cm, imprimé à Paris sur les presses de l’Imprimerie nationale pour la typographie, et dans l’atelier de René Tazé pour les eaux-fortes. Composé en Gauthier corps 18 et tiré à 80 exemplaires sur vergé de Zerkall-Bütten 90 g, vélin de Rives 250 g et Japon Zairei 36 g ; le papier de couverture est un Fabriano Roma 135 g, remplié et marqué en à-froid. L’ensemble, présenté sous étui, se répartit ainsi :
- 5 exemplaires accompagnés d’un dessin original et d’une suite des gravures, marqués de A à E ;
- 30 exemplaires accompagnés d’une suite des gravures, numérotés de I à XXX ;
- 45 exemplaires numérotés de 1 à 45,
chacun d’eux étant signé par l’auteur et par l’artiste.
Informations techniques
Informations techniques
Un volume de 20 pages, de format 21 x 29,7 cm, imprimé sur Zerkall-Bütten 90 g par les presses typographiques de l'Imprimerie nationale à Paris.
Collection
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Bibliophilie